Dans Enim 15, 2020, je publie un article sur le signe théonyme Min (R22), (R23).
Par la relecture des textes religieux, funéraires et relatifs aux prodiges témoignant des attributions de Min et de l’hypostase de force qu’il incarne et prenant appui sur les diverses études paléographiques concernant son signe théonyme R22/R23, cet article propose ici une identification novatrice du hiéroglyphe archaïque. Les récentes découvertes sur le site de Mersa Gaouasis ont par ailleurs révélé les plus anciens éléments vocaliques certifiés composant le hiéroglyphe Min. Au croisement de ces données, le sens du signe théonyme apparaît enfin, faisant directement écho aux essences et capacités célestes et inérales de l’antique divinité.